2008

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Jeudi 30 octobre 2008

Notre "Parcours découverte" du jeudi 30 octobre

Chaque semaine le midi, nous vous  présentons deux nouvelles entrées et deux nouveaux plats, dont les meilleurs intégreront nos quatre cartes annuelles.

Les "Parcours découverte" sont renouvelés tous les jeudis midi.

Entrée-plat ou plat-dessert à  35 €

Du jeudi 30 octobre au mercredi 5 novembre

Votre première assiette

Velouté de lentilles vertes du Puy, julienne de magret de canard fumé. – Tempura d'encornets légèrement pimentés, salade Thaïe.

Votre seconde assiette

Joli filet de moruette cuit à la vapeur, servi avec son écrasée de pommes de terre, sauce légère à la badiane. – Brochettes d'onglet de veau mariné, courgettes et aubergines grillées, purée de tomates épicées.

Jeudi 16 octobre 2008

Notre "Parcours découverte" du jeudi 16 octobre

 Chaque semaine le midi, nous vous présentons deux nouvelles entrées et deux nouveaux plats, dont les meilleurs intégreront nos quatre cartes annuelles et notre carte du cœur de l'été.

Les "Parcours découverte" sont renouvelés tous les jeudis midi. Entrée-plat ou plat-dessert à 35 €

Du jeudi 16 octobre au mercredi 22 octobre

Votre première assiette

Velouté de châtaignes, toast au confit d'oignons.. – Avocat en fine mousse délicate et parfumée, suprême d'agrumes, vinaigrette d'herbes, coriandre, menthe, citronnelle.

Votre seconde assiette

Gravlax de saumon de Norvège au cumin, tagliatelles de courgettes. – Pavé de gigot d'agneau mariné, accompagné de pommes de terre façon "pont-neuf".

Jeudi 9 octobre 2008

Communiqué : "Rendez-vous", la nouvelle carte de saison du 1728

Nombreuses créations pour ce rendez-vous d'automne au 1728 proposées par Géraldine Rumeau, Chef des cuisines, et Jean-François Chuet, fondateur. Au chapitre des entrées Pingyao - Velouté de potimarron parfumé au gingembre, éclats de châtaignes et de lotus. Gers attitude - Escalopes de foie gras de canard poêlées, craquant de pomme granny, poivre sauvage de Madagascar. La Belle Province - Demi homard canadien poché aux saveurs de noisette, fricassée de champignons des bois, présenté comme une raviole. Tempura du potager - Aubergine, courgette, poivron rouge et coriandre, dans un léger beignet versus Japon. Dans le registre plat Voyage ! Brochette de lotte sur son bâton de citronnelle Thaïe, riz sauvage du Canada, Soy beans du Japon. Cap Corse - Filet de daurade royale doré à la plancha, topinambours et shiitakes, jus persillé et galanga, servis séparément. Sésame... Noix de Saint-Jacques poêlées au sésame, composition du jardin. Et bien sûr les grands classiques du 1728, très appréciés par nos 40.000 clients chaque année Toque Faubourg - Tartare de thon rouge de première fraïcheur coupé au couteau, basilic, citronnelle, gingembre, algues marines, fleur de sel, fraîcheur de poivre de Lampung. Le Couvre chef Mongol - Version 1728 du Tastasë ou "Tartare" de bœuf d'origine turco-mongole, introduit en France au 18ème siècle dans la période des chinoiseries chères au peintre Boucher ! Assaisonné en mis en scène par le Chef dans la modernité de l'instant. Do-Mi-Sol Dolce Forte - Filet de canard sauvage, croustillant d'épices, cuisse maigre confite, sauce dolce forte, figues rôties déglacées au vinaigre de Xérès et pois gourmands. "Duo" Katana - Pour deux convives, belle côte de bœuf de Simmental (Bavière), marinée, cuite sur sa lame d'os, pour amateurs de très belle viande rouge et goûteuse, cornet de pommes de terre façon pont-neuf. Gravlax***** - Un must pour amateurs de belle viande, prélevée dans le cœur d'un filet rac", marinée 36 heures avec des soins attentifs : une explosion de saveurs, un bonheur dans l'assiette, servi froid comme il se doit, petit pot de mayonnaise maison, cornet de pommes de terre façon pont-neuf. Pour les desserts, le choix est désormais ouvert entre les créations du chef sur le thème de la légèreté, et les créations pâtissières signées Pierre Hermé ou Arnaud Larher. Pour consulter la nouvelle carte de saison en français et en anglais : www.restaurant-1728.com/carte.php ainsi que la nouvelle carte des vins de 199 références, ouverte au talent des meilleurs vignerons. Le 1728, restaurant, galerie d'art et salon de thé, est situé à l'angle du Faubourg Saint-Honoré, dans les anciens salons de réception d'un hôtel particulier du 18ème siècle (hôtel Mazin-La Fayette), où vécut le marquis de La Fayette. L'ensemble des bâtiments du 18ème siècle et la cour d'honneur viennent de faire l'objet d'une restauration minutieuse. Site internet dédié : www.hotelmazinlafayette.comLe 1728 est dirigé par Yang Lining, Prix du Grand conservatoire Central de Pékin, concertiste, épouse du fondateur, Jean-François Chuet. Site internet : www.yanglining.com

Mercredi 24 septembre 2008

Notre "Parcours découverte" du jeudi 25 septembre

Chaque semaine le midi, nous vous  présentons deux nouvelles entrées et deux nouveaux plats, dont les meilleurs intégreront nos quatre cartes annuelles et notre carte du cœur de l'été.

Les "Parcours découverte" sont renouvelés tous les jeudis midi. Entrée-plat ou plat-dessert à 35 €

 Du jeudi 25 septembre au mercredi 1er octobre

Votre première assiette

Velouté de lentilles, émincé de magret de canard fumé. – Avocat en fine mousse délicate et parfumée, suprême d'agrumes, vinaigrette d'herbes, coriandre, menthe, citronnelle.

Votre seconde assiette

Gravlax de saumon de Norvège au cumin, tagliatelles de courgettes. – Pavé de gigot d'agneau mariné, accompagné de pommes de terre façon "pont-neuf".

Mardi 23 septembre 2008

Didier Dagueneau

Nous apprenons avec beaucoup de peine le décès le 17 septembre de Didier Dagueneau, le grand vigneron de Pouilly-sur-Loire, dont nous présentons l'exceptionnel travail depuis plusieurs années. (La Tribune de Genève) « POUILLY-FUMÉ - Ce vinificateur de génie élaborait des sauvignons d'exception à Saint-Andelain dans la Nièvre. Le plus grand vigneron de l'appellation Pouilly-Fumé et un des plus célèbres vinificateurs de France, Didier Dagueneau, s'est tué mercredi dans un accident d'ULM. Il était mondialement connu grâce à la pureté de ses sauvignons. Des vins d'une immense minéralité grâce à des levures soigneusement sélectionnées, un long élevage sur lie sans soutirage, un passage sous bois très étudié, dans des contenants plus grands que les barriques. Ses vins sont cristallins, d'une élégance folle. L'expression la plus pure de ce cépage si difficile à travailler. Christian Martray, le chef sommelier du Hameau Albert Ier à Chamonix, résume avec une grande tristesse la personnalité de Didier Dagueneau : «On a perdu un grand vigneron, plein de talent, de générosité, de caractère bien sûr, mais un «gars de métier», un gars bien. Je garderai en mémoire sa voix, ses vins, ses coups de gueule et ses coups de cœur, son sens de l'humour. Il restera pour beaucoup le meilleur vinificateur de sauvignon du monde ses vins sont toujours là pour en témoigner. »

Jeudi 18 septembre 2008

Notre “Parcours découverte” du jeudi 18 septembre

Chaque semaine le midi, nous vous  présentons deux nouvelles entrées et deux nouveaux plats, dont les meilleurs intégreront nos quatre cartes annuelles et notre carte du cœur de l'été.

Les "Parcours découverte" sont renouvelés tous les jeudis midi. Entrée-plat ou plat-dessert à 35 €

Du jeudi 18 septembre au mercredi 24 septembre

Votre première assiette

Crumble d'aubergines à l'origan et olives noires, coulis de poivrons rouges. – Velouté de champignons, mousse de lait, aromatisé à la noisette.

Votre seconde assiette

Pavé de raie cuit vapeur, sauce vierge 1728, pois gourmands et pousses de soja. – Filet de canette mariné et rôti, purée de pommes de terre parfumée à l'huile de sésame, poêlée de shiitakes.

Jeudi 11 septembre 2008

Un nouvel article pour le 1728

Gazette du Palais Nous avons le plaisir d'être cités dans le numéro de la Gazette du Palais des 3 et 4 septembre, rubrique "A fin palais", sous la plume de Cahenus.

Notre "Parcours découverte" du jeudi 11 septembre

Chaque semaine le midi, nous vous  présentons deux nouvelles entrées et deux nouveaux plats, dont les meilleurs intégreront nos quatre cartes annuelles et notre carte du cœur de l'été.

Les "Parcours découverte" sont renouvelés tous les jeudis midi. Entrée-plat à 35 €

Cul de lampe

Du jeudi 11 septembre au mercredi 17 septembre

Votre première assiette

Tartare de sardines fraîches marinées au vin blanc et vinaigre de riz, purée de roquette, tomates et coriandre, coulis de poivrons rouges. – Velouté de courgettes au lait de coco, menthe poivrée.

 

Votre seconde assiette

Filet de bar cuit à la plancha, mousseline de carottes, chlorophylle d'herbes. – Carpaccio de bœuf mariné à la coriandre, copeaux de légumes et poêlée de pommes rattes.

Mercredi 10 septembre 2008

Salon de thé du 1728

La Chine est le pays d'origine du thé. On y cultive le thé depuis environ 150 ans, mais son histoire remonte à peu près à 5000 ans. La Chine produit la plus grande variété des thés du monde : Thés "verts", thés "blancs", thés "jaunes", thés parfumés, thés "oolong", thés "noirs" ... Yang Lining, directrice du 1728, renoue avec la tradition du thé chinois, partageant l'art subtil de la musique classique chinoise, de la poésie, de la calligraphie et de la feuille du thé. Le salon de thé du 1728 vous accueille tous les samedis de 14h30 à 18h30.

Jeudi 4 septembre 2008

Nouveau site internet dédié à l'hôtel Mazin

L'hôtel particulier construit en 1728 dans les salons duquel le Restaurant 1728 se trouve a dorénavant son site internet : www.hotelmazinlafayette.com

 

Un rubrique "téléchargements" et une rubrique "actualités" vous permettront d'obtenir des informations historiques sur cette belle bâtisse du Faubourg Saint-Honoré.

Conférence sur l'hôtel Mazin le 9 septembre prochain à la mairie du 8ème

Une conférence de Pascal Payen-Appenzeller (Société Historique et Archéologique des 8ème et 17ème arrondissements) se déroulera mardi 9 septembre prochain dans la Salle des Conférences de la Mairie du 8ème arrondissement, sur le thème de "La résurrection de l'hôtel Mazin : Mémorial La Fayette".

Mardi 9 septembre de 18h à  20h 3 rue de Lisbonne 75008 Paris / Tél. : 01 44 90 76 98 /www.mairie8.paris.fr

Mercredi 3 septembre 2008

Notre "Parcours découverte" de la rentrée (tous les midis, entrée/plat à 35 euros)

Du mercredi 3 septembre au mercredi 10 septembre

Votre première assiette

Champignons et épinards frais en ravioles craquantes. – Velouté de potimarron et magret de canard fumé émincé.

Votre seconde assiette

Filet d'aigle bar rôti à la plancha, biseaux de poireaux étuvés à la cannelle. – Onglet de veau parfumé au thym citron, patates douces rôties et marrons fondants.

Retrouvez l'intégralité de nos cartes et menus à l'adressehttp://www.restaurant-1728.com/carte.php

Lundi 4 août 2008

Fermeture annuelle du restaurant 1728 / 1728 annual closure

Nous informons notre aimable clientèle que la fermeture annuelle du 1728 se déroulera du vendredi 8 août au lundi 1er septembre inclus. Réouverture le mardi 2 septembre 2008 pour le dîner. We inform our kind customers the 1728 will be closed from August 8th to September 1st for its annual closure. Reopening on Tuesday, September 2nd for dinner time.

Vendredi 1er août 2008

Restauration du patrimoine architectural 8 rue d'Anjou

Plaquette restauration du patrimoine architectural 8 rue d’Anjou

Une plaquette pdf portant sur la restauration de l'hôtel particulier du 8 rue d'Anjou, où est situé le 1728, est désormais téléchargeable depuis le site http://www.hotelmazinlafayette.com/plaquette/

Lundi 28 juillet 2008

27 / 28 / 29 juillet 1830, les Trois Glorieuses de La Fayette

L'achèvement du programme de restauration de l'Hôtel Mazin-La Fayette au 8 de la rue d'Anjou à Paris dans le 8ème arrondissement, la visite du sénateur Barak Obama à Paris et le rappel par le Président Sarkozy de l'amitié indéfectible entre les deux peuples, la révision constitutionnelle (votée) et bien sûr l'anniversaire des Trois Glorieuses de Juillet 1830, sont le prétexte idéal pour saluer la mémoire de La Fayette dont la devise « Cur Non ? », « Pourquoi pas ? », figure désormais sur le blason - en façade rue- de l'hôtel Mazin, qui fut sa dernière demeure. Voici le film des événements de Juillet 1830 qui permettent de mieux comprendre ce personnage hors du commun cultivant l'héroïsme, la légitimité, et l'amour de la constitution avec une obstination qui frisa parfois l'intransigeance et provoque au moins l'étonnement, mais force le respect. 6 Juillet 1830 Encouragé par Polignac, Charles X publie les fameuses 4 ordonnances de Juillet, par lesquelles il suspend la liberté de la presse, dissout la Chambre fraîchement élue, modifie la loi électorale et renvoie aux calendes automnales la prochaine élection. C'est le point d'orgue d'une tension extrême entre le souverain ultra monarchiste et les libéraux, dont La Fayette est le ténor écouté à la Chambre des Députés, malgré ses soixante-treize ans. 7 Juillet 1830 Les premières barricades et les premiers coups de feu éclatent dans la capitale. Au 8, rue d'Anjou dans les murs de l'Hôtel Mazin, on presse La Fayette de prendre la tête du mouvement qui commence comme une émeute et s'érige aussitôt en insurrection populaire. 8 Juillet 1830 La Fayette proclame la faillite de la légalité et l'urgence d'un gouvernement provisoire alors que le Maréchal Marmont, à la tête des troupes royalistes, fait tirer au canon sur les insurgés. Le roi et ses ministres sont déclarés « ennemis publics de la Patrie ». 9 Juillet 1830 La Fayette est nommé Commandant en Chef de la Garde Nationale, poste militaire suprême du pays. Il siège désormais à l'Hôtel de Ville, centre nerveux des insurgés. L'après midi, les troupes royalistes sont défaites au Louvre où elles sont retranchées mais le tribu payé est lourd : près de mille morts et cinq mille blessés pour cette seule journée de Juillet. On invite de partout La Fayette à se déclarer et à prendre en main les destinées de la jeune république. L'homme hésite, sans doute affaire de légitimité ; il eût aimé, comme son ami et père spirituel Georges Washington, recevoir son mandat d'un Congrès ou d'une Chambre. Le pouvoir est à portée de sa main, mais il lui faut cette légitimité qui n'est pas au rendez-vous de l'Histoire. L'autocratie le répulse, il tergiverse, lasse puis se résigne. Le champ, désormais libre pour l'alternative Orléaniste conduite par Thiers, La Fayette exige des garde-fous constitutionnels : le Prince, certes, mais une Chambre indépendante du monarque et gardienne des intérêts du peuple et de la France, tel est le fondement de l'éphémère constitution de l'Hôtel de Ville. 31 Juillet 1830 Sur le balcon de l'Hôtel de Ville, La Fayette drape Orléans des trois couleurs bleu-blanc-rouge et, devant le peuple hésitant, fait roi Louis-Philippe par l'accolade qu'il lui donne. Louis-Philille d'Orléans sera tout sauf le monarque constitutionnel tant désiré, la constitution de l'Hôtel de Ville bien vite enterrée et ses principes jamais appliqués ! Le « Héros des Deux Mondes », l'homme écartelé de la Révolution de 1789, l'homme qui le 21 Juin 1815 scelle la chute de Napoléon, l'homme à qui la France se donne en cette fin de Juillet 1830, retourne seul à son cher logis, dans les murs de cet hôtel particulier chargé d'Histoire, où toute l'Europe et l'Amérique de la politique, de l'économie et des finances, des Beaux Arts et des Sciences, lui rendent visite jusqu'à son dernier souffle, le 20 mai 1834. Le fondateur du 1728 et l'historien des lieux tenaient à marquer ces Trois Glorieuses d'une pierre blanche, car elles furent l'apothéose du Lieutenant Général Marquis de La Fayette, Héros des Deux Mondes, esthète de la Liberté, prince de la conviction, qui désormais repose aux côtés de son épouse dans ce cimetière de Picpus plus connu outre Atlantique qu'à Paris et aux côtés des guillotinés de la Terreur, ce qui convient ô combien à ce « French paradoxe », qui valait pourtant le Panthéon. Les Trois Glorieuses figurent au calendrier des événements du 1728 et, dès 2009, les drapeaux les plus chers à La Fayette orneront autour de son blason les balcons des salons de l'Hôtel Mazin-La Fayette : le drapeau de son régiment d'Insurgents rappelant la fougue de son engagement dès sa première jeunesse, le drapeau de la jeune Confédération américaine qui lui voua et continue de lui vouer une telle reconnaissance, le drapeau de sa chère Garde Nationale dont il fut par deux fois le Commandant en Chef aux heures cruciales de l'Histoire, et le drapeau tricolore que nous lui devons et qui représente par excellence les symboles de la Liberté, de la Fraternité et de l'Egalité. Jean-François ChuetFondateur du 1728 Pascal Payen-AppenzellerExpert stratigraphe du patrimoine Historien, Professeur et Chercheur

Jeudi 10 juillet 2008

Nouveau guide Zagat Paris Restaurants 2008/09

Le nouveau guide Zagat Paris Restaurants 2008/09, édité par Nina et Tim Zagat, vient de sortir. Nous sommes heureux de figurer dorénavant parmi les "Zagat Top Spot (highest ratings, popularity and importance)". Site : www.zagat.com

Jeudi 3 juillet 2008

Carnet de voyage, la nouvelle carte de saison / Communiqué de presse du 2 juillet 2008

Géraldine Rumeau, Chef des cuisines du 1728, est d’humeur voyageuse… Yang Lining, âme des lieux et concertiste de renom, a parcouru le monde avec sa cithare Ming sous le bras… Ce travail en duo permet d’écrire cette nouvelle carte voyageuse, riche en saveurs lointaines avec toujours cette passion intacte pour les beaux produits de nos régions d’Europe.

Beaucoup de nouveautés sont à découvrir dans cette carte, qui vous guidera en douceur jusqu’à l’automne. Carnet de Voyage, mais aussi fraîcheur de l’été, dans les salons climatisés du 1728.

Pour consulter la nouvelle carte de saison : www.restaurant-1728.com/carte.php

Le 1728, restaurant, galerie d’art et salon de thé, est situé à l’angle du Faubourg Saint-Honoré, dans les anciens salons de réception d’un hôtel particulier du 18ème siècle (hôtel Mazin), où vécut le marquis de La Fayette. L’ensemble des bâtiments du 18ème siècle et la cour d’honneur viennent de faire l’objet d’une restauration minutieuse.

Un « journal » de l’ensemble de ces travaux exemplaires est visible en ligne à cette adresse : www.restaurant-1728.com/blog

Lundi 30 juin 2008

Sortie du Guide des 250 bonnes tables de Paris de L'Express

L'édition 2008 du Guide des 250 bonnes tables de Paris par arrondissement est sorti dans le courant de cette semaine sous la direction de François-Régis Gaudry.Nous sommes heureux d'y figurer en bonne place dans la catégorie "Aussi beau que bon" (voir page 46).

Vendredi 30 mai 2008

Communiqué : Yang Lining, musicienne, concertiste, restauratrice et PDG

Pékinoise de naissance, Yang Lining découvre la musique à l'âge de 9 ans et le Gu Qin (cithare classique) à14 ans. Elève des plus grands maîtres du plus noble instrument classique de la Chine, et primée au Conservatoire Central de Pékin, Yang Lining débute très tôt sa carrière de concertiste solo, en Chine d'abord, puis au Japon, enfin en Europe où elle se fixe  à Paris en 1987.

Concerts, enregistrements, tournées internationales séenchaînent jusqu'en 2000 où Yang Lining souhaite explorer d'autres voies. Experte en thé, elle décide d'ouvrir son propre salon.

L’Hôtel Mazin-La Fayette au 8, rue d’Anjou offre des opportunités qu’elle saisira en rachetant les anciens salons de réception de l’Hôtel qui sont en complète déshérence. Elle n’est pas rebutée par les façades lépreuses de ce lieu chargé d’Histoire où vécu La Fayette et pressent le formidable potentiel de ce lieu unique à Paris.

2001 voit l’ouverture des deux premiers salons, suivie chaque année par la renaissance d’un nouveau salon jusqu’en 2005, où le 1728 prend toute sa dimension de restaurant gastronomique / galerie d’art / salon de thé (450 m² dédiés aux Beaux Arts des 17ème, 18ème et 19ème siècles et à l’archéologie chinoise dont Yang Lining est collectionneuse.

Yang Lining, qui a vécut enfant la fin des années rouges de la Révolution Culturelle, est restée choquée par la destruction du patrimoine artistique et l’autodafé des partitions et instruments anciens qui sont partis en fumée dans cette folie des hommes. Sa voie est donc tracée et elle souhaite bâtir pour la génération future. Gestionnaire avisée, elle créé son holding patrimonial dont elle est la gérante et contrôle désormais 100% de son capital.

Elle vient d’être nommée Président Directeur Général de la SA ESPACE DRAGON, société de gestion du 1728.

Le 1728 a réalisé en 2007 un CA HT de 2,2 M€ et servi un peu plus de 30.000 couverts à l’heure du déjeuner et du dîner. Le 1728 développe également une activité de privatisation de salons pour des opérations événementielles corporate (dîners de gala, réception, cocktails, …) qui a représenté 460.000 € de CA HT en 2007.

Yang Lining réfléchit et travaille à la création d’un institut dont la vocation sera d’être une passerelle entre les Beaux Arts français et européens du 18ème siècle qu’elle affectionne, et les Beaux Arts chinois, plus particulièrement les périodes Song et Ming et qui ont sa préférence.

L’instrument de concert favori de Yang Lining est une cithare Ming datée de 700 ans. Ce projet muséal et de lieu d’échanges culturels et musicaux franco-chinois devrait voir le jour dans les trois années à venir.

Yang Lining a été reçue par ses pairs en 2007 Grand Maître de cithare classique, distinction la plus élevée pour un musicien du « noble art ».

Mercredi 21 mai 2008

Sortie du guide Paris Resto 2008-2009 du Petit Futé

Nous sommes heureux de figurer en tête de liste des établissements du 8ème arrondissement pour la nouvelle édition du Guide Paris Resto du Petit Futé !

Jeudi 15 mai 2008

Mark Angeli : viticulteur en biodynamie

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Mardi 22 avril 2008

Restitution / Restauration de l'Hôtel Mazin-La Fayette, 8 rue d'Anjou

La restauration de l'Hôtel Mazin-La Fayette tire sa genèse de l'acquisition par la famille Chuet-Yang de plusieurs lots d'habitation en assez mauvais état au 8 rue d'Anjou. Ce remembrement, puis la rénovation intégrale de ces lots, donnent naissance au triplex, aujourd'hui propriété de la société familiale ANJOU POMPADOUR, triplex dans lequel nous trouvons une importante partie du meuble bibliothèque en panneaux de pichpin en provenance des salons de réception de l'hôtel Mazin.

L'année 2000 marque un tournant dans la vie du couple avec la naissance d'un fils et le souhait exprimé par Yang Lining, concertiste de renommée internationale, et Jean-François Chuet, spécialiste reconnu du marketing des introductions en bourse, de redéfinir leurs priorités professionnelles.

Le nouveau projet commun prend corps en 2001 au 8, rue d'Anjou avec la possibilité d'acquérir une partie des anciens salons de réception de l'Hôtel Mazin et le projet de restaurer ce lieu pour accueillir une galerie d'art, salon de thé et un espace dédié aux produits gourmand.

Ce qui devait être au départ une simple restauration prend très vite des allures de quête lorsque sont retrouvées les boiseries d'origine du salon de musique derrière 7 cm de plâtre, en démontant les éléments et rajouts  «Art Nouveau», ce qui permet de retrouver la cheminée d'origine, en fouillant les immenses réserves où sont exhumés les impostes, les originaux qui serviront de modèles pour les doubles portes des pièces commandées, les parquets à la française originaux démontés au fil de l'Histoire. En effet, les salons sont devenus dans les années 80 des locaux de stockage et des bureaux d'information consommateurs d'une entreprise de produits laitiers peu soucieuse de l'histoire du bâtiment.

Cette restauration est conduite avec une équipe de compagnons qui ont à cœur de retrouver, restaurer, reconstituer les éléments d'origine dans l'esprit d'Antoine Mazin, écuyer, ingénieur du Roi Louis XV, Garde des plans des maisons royales et des fortifications de France en ce début du 18ème siècle curieux, inventif et européen.

L'ouverture des premiers salons du 1728 en janvier 2002 et le succès commercial qui accompagne ce lancement permettent en 2004 l'acquisition des deux grands salons démembrés au fil du temps puis des surfaces annexes. Le remembrement opéré sur la base des études confiées à Pascal Payen-Appenzeller, expert stratigraphe du patrimoine, reconstitue les anciens salons de l'Hôtel Mazin dans leur état premier. Ces travaux de restauration, conduits par la même équipe de compagnons sous la houlette de Jean-François Chuet et Yang Lining, ont duré cinq ans pour s'achever en 2006.

La restitution des salons de l'Hôtel Mazin autorise les fondateurs à une vision plus globale du projet d'autant que le bâtiment (façades extérieures et cour), suite à des réticences de copropriétaires résidents, est alors en piteux état et fait l'objet d'une injonction administrative. La famille Chuet-Yang est le porte drapeau d'une restauration exemplaire des façades et de la cour d'honneur.

Le préfinancement des études communes, plusieurs assemblées générales et une somme considérable d'énergie intellectuelle et financière, sont nécessaires pour faire accepter le projet et débloquer la situation avec l'aide de la Ville et des services de l'A.B.F., du S.D.A.P. et de la D.R.A.C. Île-de-France. La société familiale détentrice des murs du 1728 devient co-maître d'ouvrage aux côtés de la copropriété et prend à sa charge la restitution des éléments décoratifs majeurs des façades pierre : 19 mascarons dans l'esprit de la place Vendôme et de l'hôtel Matignon, 2 grands cartouches (l'un en façade rue, l'autre en cour d'honneur), 4 grands tableaux sous porche, la pose du blason La Fayette défini grâce aux recherches de Pascal Payen-Appenzeller et divers éléments architecturaux remarquables.

Engagés en juin 2007, ces travaux majeurs se poursuivent jusqu'en avril 2008 pour les bâtiments historiques de l'Hôtel Mazin. 9 m3 de pierre issue de la carrière d'origine dans l'Oise, 20.000 heures cumulées de travail, la participation de compagnons pierreux et de leur équipe, ainsi que d'un sculpteur monuments historiques et son équipe, de compagnons couvreurs spécialistes de la pose de plomb à l'ancienne, expliquent la qualité du travail accompli.

Une telle restauration donne de l'appétit à bien faire et le troisième co-maître d'ouvrage, la SCI ELYSEES ANJOU, s'engage à son tour dans la restitution des façades des bâtiments cour et rue remembrés par la famille Marquet de Bourgade au milieu du 18ème siècle. Les travaux de ces derniers bâtiments seront menés à bonne fin pour l'hiver 2008. A l'issue de ces travaux, l'ensemble de l'Hôtel Mazin-Marquet de Bourgade-La Fayette est rendu au présent avec les ajouts de l'Histoire et une lecture volontairement marquée de ces ajouts. Ladite lecture de l'histoire architecturale de l'Hôtel Mazin est un des fondements du projet.

Le 1728 est déjà visité chaque année par 40.000 convives auxquels s'ajoutent les simples curieux et amoureux des beaux arts et du 18ème siècle. Ce sont au total plus de 50.000 visiteurs chaque année qui apprécient déjà ce lieu de mémoire atypique et unique au cœur du Faubourg Saint-Honoré. Les développements en cours sont bien sûr de nature à favoriser une plus large fréquentation avec une notoriété et une image accrue. Un site internet en cours de création, www.mazinlafayette.com contribuera par ailleurs au rayonnement international de l'Hôtel.

Jean-François Chuet Fondateur du 1728

Lundi 21 avril 2008

Communiqué : édition de la nouvelle carte des vins du 1728 ### Printemps 2008

196 références pour cette nouvelle carte des vins, reflet de notre appétence pour le divin nectar. 20 références de champagnes dont les sublimes Selosse et un rosé d’exception, la cuvée Elizabeth de la maison Billecart Salmon.

Photo : Mathieu Thoisy

La carte des vins de Loire s’ouvre au talent de Mark Angeli de la ferme de la Sansonnière, avec un Anjou La Lune joliment fait et un grandiose Bonnezeaux coteaux du Houët. Désormais 24 références pour les bourgognes blancs avec les signatures de Tribut, Dauvissat, De Moor, Pacalet, Cossard… Belle découverte dans les blancs de Provence : le Bellet blanc Massa, rareté des environs de Nice.

Château Yquem fait son entrée, réclamé par nos clients, avec le superbe millésime 2001. Vote de confiance pour les Roussillon blancs de Gérard Gauby et Hervé Bizeul, ouverture pour les Alsace talentueux avec un gewürztraminer Epfig domaine Ostertag et le Riesling Sainte-Catherine de la maison Faller au Domaine Weinbach.

Photo : Mathieu Thoisy

Parmi les rouges, la Bourgogne est toujours très présente, fortement représentée par les vins d’Henri-Frédéric Roch et Philippe Pacalet, parmi les plus talentueux. Nous conservons tous nos référencements de la vallée du Rhône, de la Provence et du Roussillon, avec un affectio particulier pour le Crozes-Hermitage Dard et Ribo, le Trevallon d’Eloi Durbach et le joyau d’Hervé Bizeul : la Petite Sibérie.

Les Bordeaux rouges comptent désormais 34 références avec une ouverture aux grandes étiquettes réclamée par notre clientèle internationale ; Haut-Brion 1999, La Conseillante 2001, Cheval Blanc 1999, Langoa Barton 2000, Mouton Rothschild 1999, font désormais partie du paysage du 1728. Pour les cépages « découverte », nous proposons l’un des plus grands vins de la péninsule ibérique, le Finca Dofi Alvaro Palacios 1998, un magnifique vin du Piémont le Sito Moresco Langhe Angelo Gaja 1996 et un vin casher réputé, le Gamla Cabernet Sauvignon 2001, des hauteurs du Golan.

Deux grandes nouveautés cette année pour la carte des vins : une section vins et fromages avec des propositions d’accords parfaits, et une section vins et desserts avec 12 références pour terminer en beauté sur le chocolat, les entremets et les sorbets de création maison. Pour ce dernier chapitre, découvrez ou redécouvrez la cuvée Vintage Rich Reserve 1999 de Veuve Clicquot, que nous abandonnons à notre voisin Albion, un Quart de Chaume du Château de Suronde au chapitre des plus grands liquoreux de Loire ou le rare 100% Petit Verdot du Château Le Queyroux, sur ses notes de chocolat amer et de cacao.

Les portos sont également présents pour le fromage Stilton ou les desserts de fruits avec notamment un Ramos Pinto vintage 1983.

Pour chaque vignoble, nous nous sommes attachés à référencer d'excellents rapports qualité prix comme le Marc Pesnot Nature à 24 € ou le Pineau d'Aunis Thierry Puzelat 2006 à 28 €. Au total, nous proposons 39 références de 22 à 40 €.

Les illustrations originales à l'encre de Chine qui jalonnent la carte sur le thème du vin et du dix-huitième siècle ont été réalisées par l'artiste peintre Alain Le Yaouanc pour le 1728.

Une carte pour tous les budgets et la palette de goût la plus large, tels ont été les fils directeurs pour cette nouvelle carte mise en service dès le 14 avril 2008.

Jean-François Chuet, Fondateur du 1728

L'Instant Thé

A partir de ce lundi 21 avril, une formule à 35 € pour deux personnes est proposée pour l'heure du thé. Il vous est possible de venir déguster nos rares thés de Chine sélectionnés par Yang Lining (thés rouges ou thés verts) avec une pâtisserie du réputé Arnaud Larher.

Le salon de thé est ouvert tous les jours sauf le dimanche de 14h30 à 19h00. Consultez notre carte des thés en cliquant ici.

Jeudi 10 avril 2008

Guides 2008

Le 1728 est cité parmi les nouveaux guides 2008 : Pudlowski Paris, Michelin (national et Paris) et Frommers. Retrouvez leurs critiques !

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Vendredi 4 avril 2008

GaultMillau Paris 2008

Le 1728 est sélectionné dans le nouveau guide Paris 2008 GaultMillau, qui vient tout juste de sortir.

Lundi 17 mars 2008

Lundi de Pâques - fermeture pour le déjeuner et le dîner.

Nous informons notre aimable clientèle que le 1728 sera fermé le lundi 24 mars.

Vendredi 7 mars 2008

Sortie du Guide Michelin 2008

L'édition 2008 du Michelin vient de paraître ce jeudi, avec deux fourchettes pour le 1728.

Jeudi 6 mars 2008

Nouvelle carte des vins

La mise en service de la prochaine carte des vins du 1728 est prévue pour la mi-mars. Champagne Drappier Grande Sendrée 2002, Bourgogne Aligoté Florent Giboulot 2003, Chablis 1er cru Philippe Pacalet, font partie des nouveautés pointues qui seront à l'honneur. La carte sera toujours illustrée par les dessins de l'artiste Alain Le Yaouanc.

 

Carte des vins du 1728 illustrée par Le Yaouanc

Jeudi 14 février 2008

Fermeture exceptionnelle à l'heure du déjeuner du lundi 25 au vendredi 29 février

Nous informons notre aimable clientèle qu'en raison de travaux de pavage sous passage cocher du 8 rue d'Anjou, le 1728 sera exceptionnellement fermé du lundi 25 février au vendredi 29 février inclus pour l'heure du déjeuner uniquement (ouvert pour le dîner à partir de 19h30).
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